Prêt d’argent entre amis ….. précautions à prendre


Non classé / lundi, mars 11th, 2019

Après 2 ans de relation un peu tendue avec ma meilleure amie d’enfance, Justine, la raison de ce froid entre nous étant, comme vous pouvez déjà l’imaginer, de nature pécuniaire, j’ai décidé d’explorer le sujet de manière purement « business », mais en admettant tout de même, que le facteur émotionnelle pèse lourd dans ces situations.

Dans le cas précis que je vous mentionné, j’étais l’emprunteur. J’ ai maintenant appris ma leçon, et même avec mes amis les plus proches, je tiens à formaliser le prêt de manière à éviter les malentendus par la suite.

Je vais partager avec vous les quelques astuces pour éviter les problèmes et vous pourrez télécharger un modèle de lettre que vous pourrez utiliser si vous vous trouvez dans cette situation.

Prêter de l’argent à un proche ou un membre de la famille est un geste commun. Mais attention, dans certains cas, ce petit dépannage peut avoir quelques conséquences fâcheuses.

En effet, le prêt d’argent peut comporter des risques pour le prêteur, mais aussi pour l’emprunteur, et il peut impliquer des obligations fiscales bien souvent méconnues.

Pour éviter tout risque, il est recommandé de formaliser les choses: tour d’horizon des documents à fournir et des moyens de recours en cas de litige.

Prêter de l’argent à un proche :

Précautions d’usage

Un proche ou un parent dans le besoin se tourne vers vous pour vous demander une grosse somme d’argent qu’il compte vous rembourser dès qu’il le pourra.

Mais argent et relations personnelles ne font pas toujours bon ménage, et la situation peut vite s’envenimer en cas de non-remboursement.

La première des précautions est donc de vérifier les capacités de remboursement de votre ami. Et n’oubliez pas qu’il a préféré se tourner vers vous plutôt que de faire appel à une banque, ce qui lui facilite les choses, mais lui évite aussi de gros pépins s’il ne tient pas ses engagements.

Quels recours en cas de non-remboursement ?

Pour les crédits inférieurs à 1 500 €, un tribunal acceptera les échanges de courriers, la copie d’un chèque, ou les relevés bancaires comme début de preuve. Mais la preuve la plus irréfutable reste un acte notarié.

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